mardi 6 juillet 2021

Mini pile à lire: Trois romans graphiques en espagnol



En marge de la pile à lire que j'ai constitué pour les trois mois de l'été, je me fixe comme objectif de continuer la découverte des romans graphiques en langue espagnol.

Il faut avouer que les coups de cœur qu'on été El Paraíso Perdido de Pablo Auladell (inspiré de l'œuvre de John Milton) et Arrugas de Paco Roca m'ont beaucoup motivée pour continuer la découverte de ce monde qui jusqu'à il y a quelques moins, m'a été inconnu.

 

D'ailleurs, j'ai choisi une autre œuvre de Paco Roca.

Cette fois-ci il s'agit de Los Surcos del Azar, un roman graphique plusieurs fois primé (Prix de la meilleure œuvre d'auteur Espagnol au Salon International du Comic de Barcelone en 2014, Prix de la meilleure critique 2014 pour la meilleure œuvre et le meilleur scénariste, Prix Mandarache des jeunes lecteurs en 2019, Finaliste du Prix du meilleur livre pour l'année 2014, Prix Zona Cómic en 2013, Grand Prix Romics, Rome 2014). 

J'ai aussi emprunté PL*XI*GLS de Jali, de son vrai nom Jose Ángel Labari Ilundain. Il est artiste et scénariste espagnol. Son œuvre est dominée par les contes et fables pour enfants et pour adultes avec la mort comme thème récurrent.

Jali a signé plusieurs œuvres  personnelles dominées par le noir et blanc. En 2009, il publie "Le dernier grand voyage d'Olivier Duveau" (El último gran viaje de Olivier Duveau).

PL*XI*GLS a été publié en 2004 aux éditions Astiberri.

 

Dans un registre un peu plus léger, j'ai opté pour ce troisième titre. 


Il s'agit de Espanistán - Este pais se va a la mierda de Aleix Saló.

On y suit les aventure du personnage principal qui parcourt tout le royaume d'Espagne et rencontre plusieurs catégories sociales dont les chômeurs, les retraités, les militaires,  les fonctionnaires et les évêques.

Ça m'a tout l'air d'être une satire de l'Espagne actuelle avec ses émissions de télé poubelle, son architecture spéciale et son système de corruption.

 


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