En marge de la pile à lire que j'ai constitué pour les trois mois de l'été,
je me fixe comme objectif de continuer la découverte des romans graphiques en
langue espagnol.
Il faut avouer que les coups de cœur qu'on été El Paraíso
Perdido de Pablo Auladell (inspiré de l'œuvre de John Milton)
et Arrugas de Paco Roca m'ont
beaucoup motivée pour continuer la découverte de ce monde qui jusqu'à il y a
quelques moins, m'a été inconnu.
Cette fois-ci il s'agit de Los Surcos del Azar, un roman graphique plusieurs fois
primé (Prix de la meilleure œuvre d'auteur Espagnol au Salon International du
Comic de Barcelone en 2014, Prix de la meilleure critique 2014 pour la
meilleure œuvre et le meilleur scénariste, Prix Mandarache des jeunes lecteurs
en 2019, Finaliste du Prix du meilleur livre pour l'année 2014, Prix Zona Cómic
en 2013, Grand Prix Romics, Rome 2014).
J'ai aussi emprunté PL*XI*GLS de
Jali, de son vrai nom Jose Ángel Labari Ilundain. Il est artiste et
scénariste espagnol. Son œuvre est dominée par les contes et fables pour
enfants et pour adultes avec la mort comme thème récurrent.
Jali a signé plusieurs œuvres personnelles dominées par le noir
et blanc. En 2009, il publie "Le dernier grand voyage d'Olivier
Duveau" (El último gran viaje de Olivier Duveau).
PL*XI*GLS a été publié en
2004 aux éditions Astiberri.
Dans un registre un peu plus léger, j'ai opté pour ce troisième titre.
Il s'agit de Espanistán - Este pais se va a la
mierda de Aleix Saló.
On y suit les aventure du personnage
principal qui parcourt tout le royaume d'Espagne et rencontre plusieurs
catégories sociales dont les chômeurs, les retraités, les militaires, les
fonctionnaires et les évêques.
Ça m'a tout l'air d'être une satire de l'Espagne actuelle avec ses émissions
de télé poubelle, son architecture spéciale et son système de corruption.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire